Des Missionnaires rentrés d’Afrique nous parlent...
[marron]Pas à pas, Georges se rapproche de Compostelle, par le Camino Frances.
Aujourd’hui, il nous livre encore ses réflexions.[/marron]
[marron]Le Père Mauritz Van Genechten repart pour le Burkina Faso ce 31 octobre 2010[/marron]
[marron]En route pour Compostelle, par la Via Podiensis, Georges est arrivé à Burgos.
Il continue à nous partager son expérience et ses réflexions.[/marron]
[marron]Après 6 ans au Conseil Général de la Société, à Rome, et avant de retourner en Afrique, Georges a entrepris le pélerinage de Compostelle.
Depuis le Chemin il nous partage cette expérience et ses réflexions.[/marron]
[marron]Après 6 ans au Conseil Général de la Société, à Rome, et avant de retourner en Afrique, Georges a entrepris le pélerinage de Compostelle.
Depuis le Chemin il nous partage cette expérience et ses réflexions.[/marron]
Monstreblisia était probablement le centre d’un domaine mérovingien assez étendu, appelé Bilisia. C’était jadis le berceau de la foi chrétienne dans nos contrées. Selon la légende, Sainte Landrada fonda vers 670 un couvent de religieuses ou « munster » (appelé église de Saint-Amor) qui évoluait au cours du 12e siècle pour devenir un « stift » ou abbaye nobiliaire.
Les écritures, qui sont maintenant considérées comme les plus anciennes de la littérature néerlandaise, trouvent leur origine en ce lieu. Jusqu’au début du 20e siècle Munsterbilzen est resté un village agricole, situé entre la Campine et la Hesbaye.
Au cours de notre dernier Chapitre général, tenu à Rome du 10 mai au 12 juin, nous, les Missionnaires d’Afrique (les Pères Blancs) avons réfléchi à la MISSION.
En ouverture du Chapitre le Père Francis Barnes a animé une récollection intitulée "La tempête sur le lac".
Son exposé a permis aux capitulants de se situer face à leur Sauveur et de chasser les peurs qu’ils pouvaient encore avoir devant l’incertitude de l’avenir
Résumé de Jacques Poirier
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