Les Sœurs Blanches et les Pères Blancs en Algérie
Lorsqu’on évoque l’Église d’Algérie, la réponse demeure souvent vague et imprécise. Quelle vie catholique sur place ? Quelle "rencontre" avec les musulmans ? Quel espace de liberté pour pratiquer sa foi ?
[marron]Relations avec les musulmans, montée de l’extrémisme, rapport entre le spirituel et le temporel… Le recteur de la basilique Notre-Dame d’Afrique, à Alger, se confie.[/marron]
[vert]Avant toute considération, il est essentiel de dire que, dans le cadre "Justice & Paix", nous ne considérons pas le monde migratoire venant de l’Afrique de l’Ouest, comme un problème à résoudre mais comme un défi et une chance où le migrant lui-même est le premier porteur de son destin. De par leur charisme et dans la ligne de leur tradition les "Pères Blancs" dans le sud de l’Algérie sont confrontés à deux défis majeurs par rapport aux migrants venus de l’Afrique de l’Ouest : [/vert]
[vert]A) La mission "Justice & Paix",
B) La pastorale de communautés ecclésiales.[/vert]
[marron]Responsable du monastère de Tibhirine depuis quinze ans, le prêtre-ouvrier vosgien Jean-Marie Lassausse, ingénieur agronome, s’occupe au quotidien du parc arboricole de 8 hectares du monastère, ce qui lui vaut le surnom de jardinier de Tibhirine. [/marron]
[marron]Je vous écris ces mots de Tamanrasset, où a vécu le Bienheureux Charles de Foucauld. Nous allons ouvrir l’année du centenaire de sa mort (1er décembre 1916). C’est pour cela que je voudrais revenir sur une [bleu]méditation du Pape François[/bleu] à son sujet juste avant le Synode. Je trouve ses paroles saisissantes d’actualité, même si elles ont peu circulé dans les médias.[/marron]